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Poésie de moi et d'autres

            Cette chanson de mon cru, fait référence a mon texte du 22/05/2012, je vous l'offre en départ de cette nouvelle section de «POÉSIE DE MOI ET D'AUTRES.»
MARGINAL ERRANT

Le moment est propice pour regarder en moi.
je boirai le calice cacher au fond de moi.
Le voyage me chavire et m'intrigue à la fois.
Il me faudra franchir quelques marches pas à pas.

Je suis un marginal errant dans les cités de la vie.
Peut-être différent des gens, mais un amoureux transit.
Je tombe au fond de moi-même chaque nuit.
Je vois le phénomène que je suis.

Dîtes-moi d'où je viens pour que je sois comme ça.
Que deviens le gardien cacher au fond de moi.
Éternel compagne comble-tu tes désirs?
Solitude qui me tiens, comme tu dois te réjouir.


22/05/2012 SUITE
                               MERVEILLEUSE MUSIQUE

Une musique merveilleuse,
 me donne envie de m'évader ;
 Sur de petites routes sinueuses
 Fit toi assie à mes côtés.

 Une étincelle dans tes yeux,
 sur laquelle on ne peut douter.
 Fait de moi l'homme le plus heureux
 Et réussi à me faire rêver.

 comment pourrais-je ne pas comprendre
 Et continuer a ressasser.
 Une musique merveilleuse
 Que tu me livres avec ton cœur,
 Écrit sur une portée houleuse
 Et me révele ta splendeur,
 comment pourrais-je ne pas comprendre
 Et continuer a ressasser.

 Les durs moments que j'ai vécus,
 Si biens encrés dans ma mémoire,
 Maintenant j'en suis convaincu
 Je ne dois plus me faire croire,
 Si important soit le bonheur,
 Il ne se vit que dans le présent ;
 Me pardonner toutes mes erreurs,
 Sentir que tu es là maintenant
 (sentir que tu es là maintenant).



23/05/2012

Les possibilités sont grandes et multiples
dans l'esprit du débutant.
Dans l'esprit de l'expert,
Elles sont peu nombreuses.

Avant qu'une personne n'étudie le zen,
une montagne est une montagne.
Les eaux sont les eaux.
Après un premier aperçu de la vérité du zen,
Les montagnes ne sont plus les montagnes
et les eaux ne sont plus les eaux.
Après l'éveil, les montagnes sont de nouveaux les montagnes,
et les eaux eaux sont de nouveau les eaux.
                     
                         Koan Zen.




20/05/2012


Picasso à dit: «parmi les humains, il y a plus de copies que d'originaux».

Le politicien est passé maître dans l'art de l'ambiguïté.
Ses mots doivent être fades et anodins,
car, s'ils avaient du tranchant, ils pourraient se retourner contre lui.
                                                                            Edward Murrow.
Je ne suis pas assez  jeune pour tout savoir.

                                                                     James Matthew Barrie.

UNE PETITE BERCEUSE


      25/05/2012

2Tu te sens bien lorsque tu penses à moi,
pourquoi devrais-tu t'en priver.
Ces doux moments passés sont bon pour toi;
je t'en prie cesse de lutter.

A force de raisonner tu assombri,
le grand message de la vérité.
Qui dans ton coeur prendrait le raccourcis
pour te conduire à la pureté.

Laisse ton coeur te guider pas à pas,
dans les milles tendresses de la vie.
Et fait confiance à cette partie de moi,
qui pour toujours nous a unis.
Tu comprendras, tu fais partie de moi.
que mon amour est infinie.

Tu es la source vive qui coule en moi,
sans elle je ne peux qu'exister.
Avec amour je me glisse tout en toi,
pour que tu puisse t'y abreuver.

Notre amour, lui, se suffit à lui-même,
il ne demande rien des autres.
Car de nos vies il est la substance même,
et pour toujours il sera notre.

Puisque je t'aime j'oubli ce que je suis,
pour mieux connaître ce que tu  es.
Je sais un jour tu le vivras aussi,
alors laisse ton coeur en paix.

laisse ton coeur te guider pas à pas.
dans les milles tendresses de la nuit.
et fait confiance à cette partie de moi,
qui pour toujours nous a unis.
Tu comprendras tu fais partie de moi,
que mon amour est infinie.
Tu comprendras je fais partie de toi,
Que notre amour est infinie.


TOUT LE MONDE SAIT QUE LA BEAUTÉ EST BELLE,
VOILÀ À QUOI TIENT SA LAIDEUR.
                                    TAO-TÖ KING

Je vais te poser une question, dit le roi Milinda au vénérable Nagasena.
Peux-tu répondre?
-Je t'en prie, pose ta question, dit Nagasena.
-Je l'ai déjà posé, fit le roi.
-J'y ai déjà répondu, dit Nagasena.
Qu'as-tu répondu? demanda le roi.
-Qu'as-tu demandé? fit Nagasena.
-Je n'ai rien demandé, dit le roi.
-Je n'ai rien répondu», dit Nagasena
  APOLOGUE DE LA POULE ET DE L'OEUF,
  VERSION ZEN,


28/05/2012
            CITATION:

                          «S'il te faut demander ce qu'est le jazz, tu ne le sauras jamais.»

                          «Le Tao qu'on peut dire
                                            N'est pas le Tao éternel.

                          «Le nom qu'on peut nommer,
                                            N'est pas le nom éternel.

             J'ADORE LES KOANS ZEN.

                          Pour nous les occidentaux, aucun aspect du zen n'est peut-être aussi déroutant et intrigant à la fois que le Kôan. Ni aussi mal compris. Un kôan n'est pas une devinette ni un paradoxe fait pour dérouter . Il fait partie intégrante d'un système affiné au fil des ans pour aider l'élève à progresser vers une réalisation directe de la réalité ultime.
                          Mot japonais construit à partir de Kô (public), et de an(proposition), le Kôan peut être une question, un extrait des sûtra, un épisode de la vie des anciens maîtres, un mot échangé dans un monde ou tout autre fragment d'enseignement. On dénombre quelque 1700 kôan traditionnels.
                           La pratique du Kôan commence lorsque le maître assigne un premier kôan classique du genre Mu, qui  est la réponse de Chao-chou au moine qui lui demandait: «Le chien a-t-il, oui ou non, la nature du Bouddah?». L'élève doit parfois vivre des années avec Mu avant de le comprendre. Mais les kôan suivants--Il peut y en avoir jusqu'à 500 en cinq étapes successives-- admettent souvent des réponses rapide.
                        Voici l'explication:
                                  «Si vous prenez un kôan pour l'étudier sans relâche, votre esprit mourra, votre volonté sera détruite. Tout se passe comme si s'ouvrait devant vous un abîme immense, sans lieu où poser vos mains et vos pieds. Vous êtes face à la mort et vous avez l'impression qu'un feu vous brûle la poitrine. Puis, soudain, vous ne faites qu'un avec le kôan, le corps et l'esprit sont largués.... C'est ce qu'on appelle voir sa nature ».
                                                                                  GRAND MAÎTRE HAKUIN




JULIE...


Tant de temps à passés, a toujours espérer,
Vouloir te retrouver, toi, que j'ai tant aimée.
Ce monde, est si cruel, il a coupé mes ailes.
Depuis mon coeur, t'appelle, d' un amour éternel.

Souvent, seul dans le noir, je me surpris à croire,
Que tu ne puisse plus me voir, au coeur de ta mémoire.
Mais qu'est-tu devenue, est-ce que je t'ai déçue;
Moi la vie m'a vaincu, sans toi j'étais perdue.

Puis un jour tu m'es apparue;
De l'enfer je suis revenu.
L'amour que j'avais enfermé,
D'un seul coup tu l'as libéré.

Les souvenirs que j'avais, mon coeur les conservaient.
Eux seuls, me consolaient, la nuit quand je pleurais.
A mon âme déchirée, on t'avais enlevée;
Quinze ans sont écoulées, sans cessé de t'aimer.

Je  t'ai donné la vie, tu sais ma belle Julie.
Mais revenant ainsi, je te jure, toi aussi!

Puis un jour tu m'es apparue;
De l'enfer  je suis revenue.
L'amour que j'avais enfermé;
D'un seul coup tu l'as libéré......

LE 31/05/2012



LAISSE COURIR DANS LES COULOIRS SECRET DE TON CORPS
LES CHEVAUX VERTIGINEUX DE TES DÉSIRS.
EUX SEULS CONNAISSENT LA DESTINÉ
QUE L'ESPRIT VOILÉ PAR LES BRUMES HONTEUSES
N'OSE PAS DÉCOUVRIR.

                                                                                           Natalia Corréia ( PortugaL)





Tes bras enlacent la vie d' Assunta Renau Ferrer

Tes bras enlacent la vie en harmonie,
Danses, en ballet de lumières.
Ton rire que dit tes joies
se perd dans la brise qui passe.
Et chaque souvenir, se raconte en secret
pour la mémoire d'un autre.
Quand les espoirs effacent les tristesses,
Quand, à l'heure des matins transparents,
tes gestes sont des livres
tandis que le temps lui-même
s'arrête pour les lires,
c'est un concert qui s'offre et se dérobe.



«JE SERAIS MOUILLÉ» (d'Aimé Césaire)

Je serais mouillé de toutes les pluies,
humecté de toutes les rosées.
Je roulerais comme du sang frénétique
sur le courant lent de l'oeil des mots
en chevaux fous en enfants frais en caillots en couvre-feu
en vestige de plantes en pierres précieuses
assez loin pour décourager les mineurs.
qui ne comprendrait pas ne comprendrait
pas davantage les rugissements du tigre.



TA MORT NE CHANGE RIEN. (poème de Francis James) angleterre

Ta mort ne change rien,
L'ombre où tu vivais, que tu aimais
que tu souffrais, où tu chantais,
c'est nous qui la quittions
et c'est toi qui  la garde.
Ta lumière naquit de cette obscurité
je ne regrette pas ta mort.
D'autres mettront les lauriers qui convient
aux rides de ton front.
Moi, j'airais peur de te blesser, te connaissant.
Il ne faut pas cacher aux enfants de seize ans
qui suivront ton cercueil en pleurant sur ta lyre,
la gloire de ceux qui meurent le front libre.


À l'autre lumière




À l'ombre de ton sommeil
reposent les vestiges des songes
Il parait qu'au delà des collines
pointe l'autre horizon.

Je n'implore du soleil aucun rai
je porte en moi la lumière de ton réveil
l'éblouissement de ton regard
rivé vers l'éternité.
  

      poème d'Alain Mabanckou ( congo)



LA SAGESSE EST DE SAVOIR.

La sagesse est de savoir que je ne suis rien,
l'amour c'est de savoir que je suis tout,
Ma vie fluctue entre les deux.

Poeme de Nisargadatta Maharaj ( Inde ).







IL ÉTAIT MON NORD

Arrêtez toutes les pendules, coupez le téléphone,
Faites taire les pianos et au son du tambours voilé
Sortez le cercueil, laissez passer le cortège funèbre.

Que les avions vrombissent au-dessus de nos têtes,
Inscrivent dans le ciel la nouvelle : IL EST MORT,

Il était mon nord, mon sud, mon est et mon ouest,
Ma semaine de travail et mon repos du dimanche,
Mon midi, mon minuit, ma conversation, ma chanson,
Je pensais que cet amour-là allait durer toujours; j'avais tort.

Les étoiles sont de trop désormais; ôtez-les toutes;
Remballez la lune et démantelez le soleil;
Videz l'océan et balayiez la forêt,
Car plus rien maintenant ne peut arriver d'heureux.

                                                                 poème de V,H. Auden




Je t'aime sans trop savoir comment - Poeme de Pablo Neruda

Je t'aime sans trop savoir comment
Ou même d'où, depuis quand
Je t'aime de tout mon coeur d'un amour modeste et pur
Ainsi je t'aime car je ne sais que t'aimer
Nous sommes tels que tes mains de mes doigts se prolongent
Si proches que lorsque tu fermes les yeux, le sommeil me gagne...

Pablo neruda ( Chili )




Le sable ici entre mer et lac - Poeme de Jean Jacques Sewanou DABLA


Le sable ici entre mer et lac
A perdu l'empreinte
De nos sentiers de jeunesse
Et une Tristesse immense
Colore
Le ciel la terre les visages les toits
Jusqu'à cette bise bizarre
Qu'exhale l'océan.

Poeme de Jean Jacques Sewanou DABLA ( Togo )



La sécurité est impossible - Poeme d'Osho

La sécurité est impossible dans la vie,
Car celle-ci ne peut exister qu’en tant qu’insécurité.
Voilà pourquoi plus tu t’entoures de protections, moins tu vis.
La mort est la seule sécurité absolue.
N’aspire donc pas à être prémuni contre les dangers,
Car ce faisant tu aspirerais à la tombe.

Celui qui vit totalement, extatiquement, ne rêve jamais de cocon,
Accepte volontiers les aléas de l’existence et tu verras qu’ils ont leur propre beauté.

Osho ( Inde )





Ton chemin de liberté - Poème d'Anne - Laure Fournier Le Ray


Tes yeux auront peut-être la couleur des miens.
Ton sourire ressemblera peut-être au sien.
Mais tu seras unique, et jamais tu ne seras
Ni moi, ni lui, ni nous.
Nous te dirons ce que nous savons.
Nous t'enseignerons ce que nous croyons.
Mais toi, tu traceras ton chemin,
Qui ne sera ni le mien, ni le sien, mais bien le tien,
Ton chemin de liberté.


Poème d'Anne-Laure Fournier Le Ray


Vis maintenant ! - poème de Pablo Neruda


Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait trouver grâce à ses yeux.

Il meurt lentement celui qui devient esclave de l’habitude, refaisant tous les jours les mêmes chemins, celui qui ne change jamais de repère, ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements ou qui ne parle jamais à un inconnu.

Il meurt lentement celui qui évite la passion et son tourbillon d’émotions, celles qui redonnent la lumière dans les yeux et réparent les cœurs blessés.

Vis maintenant ! Risque-toi aujourd’hui ! Agis tout de suite !
Ne te laisse pas mourir lentement ! Ne te prive pas d’être heureux ! »

Poème de Pablo Neruda ( Chili )

Lorsque tu seras vieux - poeme de Rosemonde GÉRARD


Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,
Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs.
Sur notre banc ami, tout verdâtre de mousse,
Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer.
Nous aurons une joie attendrie et très douce,
La phrase finissant souvent par un baiser.
Combien de fois jadis j'ai pu dire : "Je t'aime !"
Alors avec grand soin nous le recompterons :
Nous nous ressouviendrons de mille choses, même
De petits riens exquis dont nous radoterons.
Un rayon descendra, d'une caresse douce,
Parmi nos cheveux blancs, tout rose se poser,
Quand sur notre vieux banc, tout verdâtre de mousse,
Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer.







Des fantômes à éviter...

Ce ne sont pas les choses que l'on fait, mon cher,
Mais justement les choses que l'on ne fait pas
Qui nous laissent au coeur un petit goût amer
Quand le soleil dans le ciel redescend, là-bas.

Le geste de tendresse oublié,
La lettre ou le petit mot qu'on n'a pas écrit
Et les fleurs qu'on aurait si bien pu envoyer,
Sont les fantômes qui viennent hanter nos nuits.

Anonyme

Il n'y a pas de petite querelle

Il n'y a pas de petite querelle, comme il n'y a pas de petit incendie. Dès que vous assistez à une querelle, si minime soit-elle, intervenez, séparez les combattants et faites tout pour les réconcilier ! Car le feu et la querelle sont les deux seules choses qui, sur cette terre, peuvent mettre au monde des enfants plus colossaux qu'eux mêmes : un incendie ou une guerre.
Morale d'un conte africain citée par
Amadou Hampâté Bâ dans le recueil du même nom
Texte intégral






 



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